Deux possibilités s'offre dans ce genre de travail.
La première lorsque la lame n'est pas terminée on chauffe la soie et on enfonce le bois. On répète l'opération plusieurs fois de façon à aller jusqu'au bout de la soie. Ensuite on taille le manche. Suivant les modèles et les époques, soit c'est une soie emmancher dans ce cas on collera à l'Araldite, a l'époque des mélanges de colles de peau ou de résines naturel peuvent être utilisés. Ou alors on a une soie traversante et le bout de la soie est replié sur le montage.
La deuxième possibilité c'est la taille au ciseau de la forme de la soie, en négatif, puis on colle le deuxième morceau, on taille le manche et ensuite on colle. Comme la plupart des lames sont finis on a pas trop le choix que d'utiliser ce type de montage. Par la suite sur certains modèles on a constaté le renfort avec des tendons au début et à la fin du manche. Ce qui renforcerait ce système de deux parties. Sachant quand on fait en soie chauffer il faut avoir le coup d'oeil lorsque le manche est tailler, car on ne sait pas toujours comment le trou est placé et ou tailler.
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