euh.... à part que les femmes se ramèneraient à une simple question "d'utérus" (et qu'on les protègerait), vous oubliez, accessoirement, que une "armée" (si tant est que cette notion d'armée de métier a existé en dehors de l'empire romain...) sans "intendance" est une armée "morte"!
Que ce soit: nourriture, habillage (ben vi: tout à la main!), le quotidien et éducation des "futurs guerriers"" OU soigner les valeureux guerriers...
Accessoirement aussi: "faire tourner la boutique et la gestion de la maisonnée, etc." pendant que le guerrier est parti taper ailleurs...ou taper sur celui qui vient l'embêter (là, le guerrier, pragmatiquemnt défend son steak! soit... ses "possessions" qui lui assurent son quotidien);
=> niveau mariage-symboles des rôles sociaux: les clés (ou équivalent) des réserves (donc de la gestion...) et du fuseau et autres bidules pour la femme, des trucs (éventuellement) plus du domaine "extérieur" pour l'homme... et pas forcément une épée!
(chez les germains, les échanges sont assez équivalent entre les époux: arc, lance, mors de cheval...);
Il faut aussi se dire que TOUS les hommes ne sont pas "guerriers"...loin s'en faut! Et que normalement, en ces sociétés, ils ne font pas QUE cela.
Quant à la "multiplication des burgondes à l'exportation"....
- soit leurs femmes sont restées au pays (sans défense?.... ou elles se défendaient!)
- soit elles sont venues avec.... (et capables de se défendre....ou d'attaquer pour piquer le steak des envahis)
- union mixte de mâle guerrier burgonde avec des ressortissantes du coin envahis.
S'il vous plait, vous seriez gentils de stopper cette maxime à 2 balles "tota mulier in utero"! (bien romaine macho, du reste!)